Il y a quelques années, la Direction Nationale de l’Enseignement Catholique avait sollicité notre aide pour la reconstruction d’écoles en Haïti.
Cette année, répondant au même appel, l’Institut de l’Assomption s’est engagé dans une démarche similaire au profit cette fois-ci de la plaine de Ninive en Irak. Venant de Paris, Mme Gaspard a souhaité sensibiliser les grands collégiens à cette démarche. Dans un pays meurtri par la violence et la guerre, elle nous a présenté le projet de l’Association « Espoir-Irak » : permettre aux enfants de cette région, quelles que soient leur religion ou leur culture, de profiter de structures d’accueil pour étudier et construire un avenir. Un tel projet ne pouvait évidemment que trouver un écho favorable dans notre Établissement.
Impressionnés par son témoignage, nous allons donc, à notre niveau, nous associer à cette œuvre. Les bénéfices du Bol de Riz (qui aura lieu le jeudi 09/04/2020) seront reversés intégralement à l’Association.
Merci à Mme Gaspard pour son passage parmi nous. Merci à tous les participants.
À l’Institut de l’Assomption, durant ce mois de décembre, nous avons souhaité nous engager en lien avec « l’Ordre de Malte » en faveur des plus défavorisés.
Active dans de nombreux domaines, l’association nous proposait cette année une action au profit des personnes vivant dans la rue à Colmar. Nos élèves ont donc profité de ce temps de l’Avent pour participer à la collecte de produits alimentaires lyophilisés qui permet à « l’Ordre de Malte » d’aller dans les rues de notre ville pour rencontrer des personnes en situation de précarité.
Aux dires de Madame Hoog, représentante de l’Association, la mobilisation de nos élèves a été particulièrement bonne. Des réserves vont ainsi être faites et permettront durant les prochains mois d’apporter quelques repas et un peu de réconfort aux plus pauvres.
Merci à tous ceux qui ont bien voulu participer.
Jeudi 4 Avril 2019
Nous voilà partis à cinq heures du matin, encore un peu endormis mais le cœur rempli de curiosité et d’attentes à l’idée de découvrir la belle ville de Rome Notre premier arrêt a lieu en Suisse. Nous nous retrouvons dans un décor digne d’un mois de Janvier : il neige à gros flocons. Heureusement, nous ignorons qu’il va nous falloir attendre jusqu’à 17 heures pour repartir. Chacun s’occupe comme il peut… vive les nouvelles technologies ! Nous arrivons au couvent Al Casaletto à 2h30 du matin, où nous sommes accueillis par la toujours dynamique Sœur Gilda.Fatigués, nous rejoignons nos chambres qui se révèlent douillettes et confortables. Nous pouvons enfin nous étendre… Première leçon de notre voyage : l’importance de la patience… |
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Vendredi 5 Avril 2019
Après un solide petit déjeuner, nous voilà prêts pour découvrir les Musées du Vatican et ses merveilles. Notre jeune guide nous aide à mieux comprendre la démarche de chaque artiste.
Puis, nous entrons dans le joyau qu’est la Chapelle Sixtine, avec son plafond somptueux, peint par Michel-Ange. Plus tard, nous déambulons dans la colossale Basilique Saint-Pierre, où tout est démesure et beauté là où notre regard se pose.
La deuxième leçon de notre voyage : être attentif aux explications données permet de mieux comprendre ce que l’on voit.
Après avoir écrit des remerciements dans le Livre d’Or des sœurs, et après des adieux chaleureux, nous rejoignons la Place Saint-Pierre, afin d’assister à la bénédiction du Pape François. Monsieur Scotto nous a réservé une surprise : le pape salue les élèves de L’Assomption de Colmar. Pour manifester notre présence, en communion avec le Pape et nos familles qui sont dans nos cœurs, nos voix s’élèvent dans un seul cri. Nous agitons nos foulards rouges, signes de notre appartenance au groupe.
Après un bon repas au restaurant, nous nous dirigeons vers le centre historique de Rome pour suivre un parcours baroque : l’Église Saint Louis des français, avec ses tableaux de Caravage, et Saint Ignace de Loyola, avec sa coupole en trompe-l’œil. En traversant les ruelles, nous arrivons sur la Piazza Navona, où s’élève la fontaine des Quatre Fleuves, avant de nous arrêter devant le Panthéon. Ensuite, nous faisons le vœu de revenir à Rome, grâce à la majestueuse Fontaine de Trévi.
Nous nous rassemblons une dernière fois pour déguster une pizza avant de reprendre la route.
La leçon du jour : il ne faut pas compter ses pas pour découvrir Rome, la ville éternelle.
C’est en milieu de matinée que nous arrivons à L’Assomption, heureux de retrouver les nôtres, mais le cœur et l’esprit remplis de beaux souvenirs.
La dernière leçon nous dit que le plaisir de retrouver son chez soi fait partie des voyages.
Petit témoignage d’élèves concernant le voyage
« Pendant 3 jours, des lieux plus beaux les uns que les autres se sont dévoilés à nos yeux… Dimanche, nous avons eu la chance d’assister à l’Angelus et d’avoir été salué par le pape François sur la place St Pierre. Ce fut un moment riche en émotions pour tous…
C’était, c’est et cela restera un voyage inoubliable avec une ambiance géniale, des accompagnateurs au top et un cadre magique! »
A l’occasion de sa visite pastorale à Colmar, Mgr Ravel, Archevêque de Strasbourg, avait convié le 30 novembre 2018, des représentants des Etablissements Catholiques de la ville à la maison paroissiale de St Martin.
Plusieurs élèves de l’Assomption étaient donc présents avec quelques enseignants impliqués dans la Pastorale. La rencontre fut chaleureuse. Chaque établissement présenta dans les grandes lignes son implication dans le domaine religieux. Un échange permit aux élèves de s’adresser directement à Mgr Ravel. Merci à tous ceux qui ont participé à ce beau moment.
L’église Saint François d’Assise était pleine ! Cette année, c’est dans ce magnifique lieu que nous nous étions donné rendez-vous pour célébrer la fête de l’Épiphanie. L’assemblée fut particulièrement recueillie et fervente pour participer à la messe dont le thème était cette année : ’’la création, œuvre de Dieu’’.
Tout nous invitait à reconnaître la beauté de la création et la grandeur du Créateur. Oui, « toutes les œuvres du Seigneur, bénissez le Seigneur ! » Le père Bottais nous encourageait à nous reconnaître créatures de Dieu et à construire entre nous un lien respectueux et bienveillant. Christiane Daull, à l’orgue, nous faisait l’amitié d’être là. Les élèves, entourés de leurs enseignants et des représentants de l’APEL, se succédaient : animation musicale, lectures, intentions, petite mise en scène : chacun dans son domaine nous engageait à la joie et à la contemplation.
La prière de saint François nous incitait à l’émerveillement et à l’action de grâce : « Loué sois-tu, mon Seigneur, avec toutes tes créatures, spécialement messire frère soleil… Loué sois-tu pour sœur notre mère la Terre… ». Nous avons souhaité reprendre conscience de tous ces dons qui viennent de Dieu créateur. Que ces temps de recueillement et de prière fécondent nos cœurs et nous aident à nous engager vraiment pour le respect et la protection de notre planète ! Nous demandons à Marie « que drape le soleil et couronnée d’étoiles » de nous guider sur ce chemin.
Merci à Madame Kiry et à la paroisse saint François pour l’accueil qui nous a été réservé.
La soirée s’est poursuivie au restaurant scolaire pour la traditionnelle galette. Rencontres et partage fraternel a permis à tous, petits et grands, de profiter de ce beau moment. Un merci tout particulier à tous ceux qui se sont mobilisés pour la préparation et le service de ce temps convivial !
C’est avec »nos » sœurs de saint Joseph, nos voisines du boulevard Foch, que nous avons mené cette année notre action d’Avent au profit des populations dévastées du Kérala en Inde… mais tout cela n’a été possible qu’avec l’aide généreux de « La Pommeraie » qui nous a fait don de plusieurs centaines de pommes. Celles-ci, vendues 1€ pièce, ont permis de constituer une coquette cagnotte tout en procurant à nos élèves un »goûter diététique » où les fruits tenaient toute leur place.
Toute l’action a été menée dans une ambiance joyeuse et sympathique où la générosité de nos élèves a, une nouvelle fois, pu s’exprimer. Merci à tous. Nous espérons que nos efforts permettront à nos frères et sœurs du bout du monde de vivre mieux en reconstruisant les maisons détruites.
Parallèlement, un calendrier de l’Avent dont les images se sont progressivement affichées sur les fenêtres du bâtiment a rythmé notre montée vers Noël. Un court texte partagé chaque matin en classe permettait de comprendre le sens de la proposition du jour.
Des paroles et des actes ! L’Avent était vécu avec entrain et profondeur.
La messe de Noël chez les sœurs, le jour de la sortie, permettait aux élèves volontaires de se recueillir et de célébrer dans la prière la venue du Sauveur.
Michel Scotto – Animateur Pastoral
Prédicateur de la maison pontifcale à Rome et proche du pape François, le père Cantalamessa nous a fait l’immense joie de venir à la rencontre des élèves de 4è – 3è de l’Institut de l’Assomption. Avec la complicité des sœurs de St Joseph qui mirent à notre disposition leur plus grande salle, ce sont à peu près 200 participants qui se sont donc rassemblés pour écouter et dialoguer avec le père Raniero.
Ce qui nous a d’abord touché, ce fut sa simplicité, sa gentillesse pour ces jeunes qui reconnaissaient bien volontiers ne pas toujours avoir un parcours clair sur le plan religieux. Et pourtant, que cette rencontre fut belle, empreinte d’un grand respect mutuel !
Avec beaucoup de délicatesse, le père évoque son itinéraire personnel pour poser la question centrale : « Comment rencontrer Dieu dans ma vie ? » Il parle d’espérance, précise que pour lui, la confiance en soi vient avec la conviction qu’on sait Dieu proche de soi. Il parle de la miséricorde de Dieu convaincu qu’elle est infinie. Il encourage chacun à se tourner vers Dieu quelle que soit sa religion : « On peut bien donner des noms différents au soleil, il n’y en a qu’un seul. Oui, Dieu a des noms différents mais c’est vers l’Unique que nous nous tournons tous ! » La place de l’intériorité est aussi abordée : « Prenez du temps pour vous dégager de toute l’agitation extérieure : prenez du temps dans votre cœur, c’est là que Dieu vous parle ! ». Réfléchissant avec les jeunes sur le sens de la vie, il se permet de faire la distinction entre »personne » et »personnage », relevant la superficialité d’un monde qui a parfois tendance à chercher des idoles sans privilégier la profondeur d’une relation personnelle. Il invite à la joie en déclarant que s’approcher de Dieu ce n’est pas renoncer à celle-ci, bien au contraire.
Avec des mots simples, le prédicateur prend le temps de réfléchir avec ses interlocuteurs. L’âme se nourrit au fil des remarques et des réflexions. L’assistance constituée d’un jeune public, peu habitué à ce genre de rencontre, est très attentive. On peut dire que nos élèves ont été exemplaires ! Les applaudissements ponctuent les grands moments de l’intervention. Les questions sur des sujets de premier ordre manifestent, s’il en était besoin, l’intérêt suscité : « Pourquoi Dieu nous a-t-il créé ? », « Quelle place pour les femmes dans l’Eglise ? » La position de l’Eglise sur des questions sociétales est aussi abordée. Et puis on parle des »vocations » dans l’Eglise, de la foi et de la part de doute qui peut exister. On s’arrête aussi sur la mort et la destinée ultime de la personne humaine. Les jeunes se sont visiblement appropriés le débat et c’est l’occasion de poser des questions centrales qui reflètent leur attente et leur soif de réponses.
Au terme de cette rencontre, Mme Bérion, chef d’Etablissement conclut en reprenant quelques unes des grandes lignes abordées. Elle insiste notamment sur l’espérance transmise et le regard d’amour de Dieu sur chacun.
Le jeune Alban, élève de 3è, interprète magnifiquement un chant et termine sous les applaudissements de ses camarades et le regard bienveillant du père Raniero.
Au terme de cette rencontre, les jeunes viennent volontiers saluer le père, on fait quelques autographes ou quelques photos. Le père franciscain, ravi de ces contacts simples et directs, s’est mis au niveau de ces jeunes qui repartent à la fois impressionnés mais surtout imprégnés de ces paroles qui ont, ce jour-là, touché leur cœur et qui, petit-à-petit, germeront pour accompagner chacun sur son chemin.
Merci à tous ! Que l’Esprit de Pentecôte qui a illuminé cette rencontre soit une lumière pour chacun !
Chef d’Etablissement de l’Institut de l’Assomption à Colmar, lors de la rencontre des élèves de 4è-3è avec le père Raniero CANTALAMESSA le 18 mai 2018 chez les sœurs de St Joseph.
Merci mon père pour ce grand moment parce que je crois que, au vu de l’écoute et de l’attention de nos élèves, qui ont été exceptionnelles, je pense que vous avez pu délivrer à ces jeunes un message d’espérance et répondre à des questions existentielles ou spirituelles qui vont faire leur chemin petit-à-petit.
En tout cas, moi j’ai retenu des choses que nos jeunes vont pouvoir ancrer : c’est qu’ils doivent se satisfaire d’être déjà dans un monde de paix et qui n’a pas connu la guerre.
J’ai retenu que chacun sait qu’il est sur terre parce que c’est l’amour de Dieu qui a fait qu’il est arrivé sur terre : chacun d’entre nous doit se sentir aimé et ça c’est une espérance qui peut vous faire avancer, vous faire vivre la poursuite de votre expérience sur cette terre.
J’ai retenu « être capable de s’émerveiller ». Je crois que c’est quelque chose qui nous importe aussi en tant que communauté éducative, que tous les jours, vous vous émerveilliez des nouvelles connaissances, des nouvelles relations que vous avez avec les autres.
Je pense que le fait que vous ayez dit aussi que chacun est précieux, que nous sommes tous connus, nous sommes tous aimés d’un Dieu, de Dieu, je pense que ça peut aussi faire avancer nos jeunes. Entamer un dialogue avec Dieu, c’est un petit peu le message que vous avez pu aussi leur donner aujourd’hui, qui n’est pas la crainte, d’écouter cette petite voix intérieure, comme vous l’avez dit à un moment donné, pour faire son cheminement, pour faire en sorte que chacun puisse aussi se donner du temps pour soi pour avancer et surtout rentrer en relation avec Dieu qui peut nous aider à avancer, entrer en relation avec les autres.
J’espère que j’ai à peu près résumé, en tout cas c’est ce que j’ai pu entendre, c’est quelque chose aussi qui nous anime parce que vous êtes tous précieux à nos yeux en tant qu’éducateurs dans cette école. Vous êtes précieux aux yeux de Dieu et vous êtes précieux à nos yeux et nous faisons aussi en sorte que vous avanciez, que vous vous construisiez et que surtout vous soyez heureux et que vous ne versiez pas dans le désespoir mais que la vie est belle !
Voilà, c’est un petit peu le message que je voulais compléter par rapport à notre mission d’éducateur.
En tout cas un grand merci. Nous avons vécu un moment exceptionnel et j’espère que ce sera un moment qui restera gravé dans la mémoire de chacun et que, peut-être, l’annonce a peut-être eu lieu pour certains d’entre eux aujourd’hui. Merci mon père.
La Congrégation des sœurs de St Joseph et leur engagement en Inde :
Notre Congrégation est née en 1845 à GUEBERSCHWIHR – SAINT MARC, dans la montagne, dans le but de prendre en charge des enfants pauvres ou orphelins, et de soigner les malades et mourants dans les villages environnants. C’était un besoin de l’époque. Aujourd’hui encore, nous sommes attentives à répondre aux appels de notre temps.
Ainsi, en 1974, poursuivant le même but, nous nous sommes implantées en INDE. Aujourd’hui nous comptons plus de 500 Sœurs indiennes vivant dans près de 60 communautés, réparties dans 7 Etats indiens (bientôt 8 !), qui se dévouent inlassablement pour venir en aide aux pauvres. Car, malgréNotre Congrégation est née en 1845 à GUEBERSCHWIHR – SAINT MARC, dans la montagne, dans le but de prendre en charge des enfants pauvres ou orphelins, et de soigner les malades et mourants dans les villages environnants. C’était un besoin de l’époque. Aujourd’hui encore, nous sommes attentives à répondre aux appels de notre temps.
Ainsi, en 1974, poursuivant le même but, nous nous sommes implantées en INDE. Aujourd’hui nous comptons plus de 500 Sœurs indiennes vivant dans près de 60 communautés, réparties dans 7 États indiens (bientôt 8 !), qui se dévouent inlassablement pour venir en aide aux pauvres. Car, malgré certains progrès et certaines apparences, il y a encore beaucoup de pauvres en Inde !
Depuis la pointe sud de l’Inde jusque dans les vallées de l’Himalaya, essentiellement dans les villages, nous prenons en charge :
• l’éducation des enfants pauvres, l’enseignement dans nos écoles comme dans celles du diocèse et de l’État
• dans nos dispensaires nous soignons tous les malades, pauvres ou non, parfois des lépreux. Nous organisons des dispensaires mobiles dans les villages, avec distribution de médicaments, sous le contrôle d’un médecin
• nous assurons un travail social : l’alphabétisation d’adultes ; pour les femmes, des cours centrés sur l’hygiène, la tenue d’un budget, l’utilisation d’une machine à coudre… de sorte que, peu à peu, certaines d’entre elles arrivent à être embauchées partiellement dans des projets sociaux et à subvenir aux besoins de leur famille. Nous visitons les familles, les malades, les mourants.
1. Un centre d’accueil pour les enfants handicapés à Madackal au KERALA
Dès 1997-1998, la Congrégation a construit une maison pour accueillir des jeunes handicapés mentaux et physiques, à partir de 4 ans et sans limite d’âge. Avoir un enfant handicapé mental est considéré comme une malédiction. Alors les parents les cachent et ces jeunes handicapés sont livrés à eux-mêmes. Les parents ne peuvent pas les garder à la maison pour s’en occuper, ils doivent aller travailler pour subvenir aux besoins de la famille. Chaque matin, les Sœurs vont chercher ces jeunes dans leur famille, avec un bus offert par le Rotary Club de Mulhouse et les ramènent le soir chez eux. Dans la journée elles s’occupent d’eux, les aident à vivre en groupe, une aide est nécessaire pour les gestes et besoins courants : à table pour les repas, aux toilettes, pour les déplacements, elles leur assurent des soins divers (travail de kiné, physiothérapie)… Tout cela gratuitement. Elles leur donnent aussi une petite formation (fabrication de bougies, d’enveloppes, de sachets, de chapelets…) dont la vente dans les magasins contribue partiellement à payer les repas.
Aujourd’hui nous accueillons 58 jeunes dont seulement 3 sont parrainés.
2. Une maison d’accueil pour petites filles à Polasanippally en ANDRA-PRADESH
Dans l’Etat d’ANDRA-PRADESH les petites filles sont rarement scolarisées mais, très jeunes, doivent s’occuper des travaux ménagers et être soumises. Les fillettes pauvres ou orphelines sont souvent livrées à elles-mêmes.
Avec l’aide financière des Sœurs de France, les Sœurs ont pu ouvrir une maison pour les accueillir. Dès son ouverture, 120 enfants se sont présentés. Faute d’espace, nous n’avons pu accueillir que 30. Aujourd’hui il y en a 48. Elles restent chez nous dès l’âge de 4 ans et jusqu’à la fin des études secondaires. 3 fillettes ont déjà obtenu une Bourse de l’État, 14 fillettes sont parrainées, les 34 autres attendent une aide.
Aujourd’hui les frais de pension et de soins s’élèvent à 300 € par an et si on y ajoute les frais et matériel de scolarité et de déplacement, il faut compter 500 €… Toutes les aides sont de vrais cadeaux !
MERCI pour votre accueil et votre soutien ! Sœur Lina.
C’est avec joie que nous avons accueilli cette année au collège de l’Assomption l’antenne du Haut-Rhin de l’Association « Terre des Hommes – France ». Très impliquée dans l’aide caritative et humanitaire à travers divers programmes sur la planète, les intervenants sont venus nous partager leurs expériences auprès des populations d’Afrique et des Philippines.
Concernant l’Afrique, c’est dans toute la région du Sahel que Michel Côme nous a entraînés. Avec lui, nous avons abordé la problématique de l’eau (en lien avec l’E.P.I. des 5è). Comment préserver ce bien si essentiel, cette ressource si nécessaire pour boire, manger (cultures), se laver, produire des briques de construction, transporter (navigation)… ? Comment creuser des puits et permettre un accès à l’eau souvent compliqué à de si nombreuses populations ? Le défi paraît immense ! Les actions menées avec réussites permettent d’envisager des lendemains meilleurs.
Enora Froppier, avec ses complices Hubert, Agnès et Marc nous ont fait découvrir les Philippines, pays marqué par les influences espagnoles puis américaines. Si ce pays, par sa culture, nous permet de faire des liens avec notre façon de vivre, nous découvrons aussi un cadre tropical avec sa flore luxuriante, une faune inhabituelle, le phénomène des moussons ou bien les combats de coqs… Archipel au bout du monde dans l’océan pacifique, les Philippines ont pour capitale l’imposante Manille. Ville de contraste avec notamment ses bidonvilles et malheureusement les misères qui vont avec : insécurité, traffics en tous genres, droits non respectés, pauvreté extrême, promiscuité, violences… un constat souvent alarmant qui nous invite tout naturellement à la solidarité. Nous avons vécu celle-ci à travers la vente de petits objets venus du bout du monde, de ces pays qui lancent un appel à l’aide. Les élèves de l’Assomption ont particulièrement bien répondu et c’est avec une grande satisfaction que nous pourrons aider « Terre des Hommes – France » grâce aux sommes recueillies.
Le carême c’est aussi à l’Assomption notre temps de recueillement autour du Chemin de Croix proposé aux élèves volontaires : méditation de la Passion du Christ, prière pour les plus fragiles, les malades, nos défunts, les victimes des guerres et du terrorisme à travers le monde avec, cette année, une pensée particulière pour le colonel Arnaud Beltrame. Nous vivons ce temps de prière chaque année avec le Père Bottais chez les sœurs de Saint Joseph, en face de notre établissement. Le recueillement de tous fut un vrai moment d’intériorité et de communion. Merci, au Père Bottais, à nos chères sœurs qui nous accueillent si souvent avec la même gentillesse. Le traditionnel bol de riz partagé chaque année le jeudi saint sera cette fois reversé justement aux sœurs pour leurs missions auprès des plus pauvres en Inde.
Merci à tous ceux qui ont participé à ces rencontres. Bonnes fêtes de Pâques à tous.
L’accueil : c’était le thème de notre messe de l’Epiphanie cette année à l’Assomption. Une assistance nombreuse s’était pressée pour célébrer la visite des mages au nouveau-né de Bethléem.
Abraham, au chêne de Mambré, fut un guide idéal pour nous éduquer : son attention, son empressement, sa disponibilité… voilà quelqu’un qui savait accueillir c’est-à-dire recevoir l’autre avec chaleur et attention ! Le ton était donné. Toute la thématique nous invitait à nous tourner vers l’autre. Les plus jeunes, par leurs jeux scéniques, nous l’ont redit : « il est formidable d’aimer ». L’amour ne passera jamais, il vient de Dieu et nous entraîne vers Dieu. L’amour s’offre à tous, en particulier aux plus petits, aux plus vulnérables : celui qui est dans le chagrin, celui qui est seul, celui qui a peur, celui qui a besoin d’aide.
L’accueil, c’est aussi se mettre à l’écoute de la Parole de Dieu comme nous le rappelait le Père Bottais, notre célébrant : « Les mages étaient à l’écoute pour accueillir et recevoir le signe de Dieu ».
Ensemble nous avons pris le temps de nous souvenir de la Tendresse de Dieu qui nous invite à l’Espérance. L’Enfant de la crèche nous invite à recevoir la lumière de Dieu et à croire en un monde nouveau habité par sa Présence.
Au terme de la messe, nous avons invoqué Marie pour nous rappeler qu’elle veut être avec nous sur chacun de nos chemins.
La traditionnelle galette fut, au terme de notre soirée, un temps de convivialité, de partage, d’accueil mutuel.
Merci à tous ceux qui ont permis le bon déroulement de ce temps fort.
Au mois de septembre nous avons reçu un appel à l’aide à propos de la situation dans les Antilles à la suite du passage des ouragans Irma et Maria. Le message disait notamment:
A Saint-Barthélemy : L’ouragan IRMA est passé sur l’île qui a subi de lourds dégâts matériels. Les routes ont été coupées, l’aéroport, situé en bord de mer, a été inondé par des vagues de 8 mètres. Les bâtiments en dur, maisons, établissements scolaires… ont été endommagés voire détruits. Les populations ont été privées d’eau et d’électricité. Les deux écoles catholiques de l’île ont été particulièrement touchées. Elles nécessitent de nombreux travaux et l’ensemble du matériel scolaire est détruit.
Le temps de nous organiser, avec Madame Bérion, notre nouveau chef d’établissement, nous avons décidé de lancer pour le temps de l’Avent une opération très simple: « 1 pomme > 1 euro ».
Contactée, l’entreprise de « la Pommeraie » à Sigolsheim a instantanément répondu favorablement à notre demande: elle tenait à notre disposition, gratuitement, des centaines de pommes.
L’action a été lancée les 6-7 et 8 décembre au collège de l’Assomption.
Les élèves ont répondu avec beaucoup d’enthousiasme et de bonne humeur à l’initiative de l’Etablissement.
Finalement ce sont 742 € qui ont été récoltés grâce à la générosité de tous.
Que ce geste de solidarité permette à nos amis du bout du monde de redémarrer et de retrouver des conditions favorables pour continuer à apprendre. Recevez tous, de la part de l’Institut de l’Assomption de Colmar, l’assurance de notre amitié et de notre fraternité.
Michel Scotto – Animateur Pastoral – Assomption Colmar
Fin mai-début juin 2017, les élèves de 5ème ont eu l’occasion de découvrir la magnifique exposition sur le linceul de Turin à Masevaux.
Tout d’abord, il faut dire que nous avons bénéficié d’un accueil remarquable. En effet, le Père Flota et Madame Soulé-Noulibos se sont « mis en quatre » pour nous consacrer deux matinées et ainsi nous faire entrer dans le mystère du linceul.
Et mystère, on peut dire qu’il y a ! On ne peut qu’être impressionné par cette imposante bande de lin qui porte en elle cette trace si étonnante d’un homme portant les marques d’une crucifixion (et de bien d’autres sévices) au point que personne ne sait comment cette trace s’est formée. Tout y passe : le parcours probable de la relique à travers l’Asie Mineure puis l’Europe des origines jusqu’à nos jours, les traces de pollen, les épanchements de sang, les auréoles d’eau, les plis marqués par les brûlures, la première photographie de Secondo Pia en 1898, les découvertes scientifiques récentes… et les extraordinaires concordances avec les récits de la Passion du Christ.
Incontestablement, les élèves (et les professeurs qui accompagnent) sont pris et emportés par toutes les explications données et illustrées de maints et maints détails. La présentation est sérieuse, fouillée, pédagogique. Il n’est pas question de convaincre de l’authenticité mais de mener une enquête en rassemblant les morceaux du puzzle. Chacun se fera son opinion…
Mathilde, jeune élève de 5ème 4, témoigne à sa façon : « La présentation était bien faite et intéressante, traçant l’histoire du linceul, montrant des détails invisibles à l’œil nu tels que des traces de pièces de monnaie présentes sur les yeux de l’homme du linceul et des lettres… Certains, comme moi, ont beaucoup réfléchi et se sont questionnés sur les origines du linceul, et, pour moi, en tant que croyante, je ne peux pas penser qu’il puisse y avoir tant de coïncidences… Et comme l’a dit Jean Paul II, le linceul de Turin est une ‘’provocation à l’intelligence’’. Pour résumer, je pense comme beaucoup de monde dans ma classe, que cette intervention était réussie et intéressante ».
Tout est dit ! Grand merci au Père Flota et à Madame Soulé-Noulibos pour ces moments de découverte denses et profonds !
Au mois de mars, nous avons eu la chance d’accueillir à l’Assomption deux représentants de l’Association « Points-Cœur ». Durant toute une semaine, Sœur Régine et Denis ont pris le temps de rencontrer les classes et d’apporter leur témoignage.
Leur « mission » les envoie aux quatre coins du monde à la rencontre des plus petits, des plus déshérités. Il s’agit d’aller à la rencontre de ceux qui sont livrés à eux-mêmes pour leur manifester une Présence, un lien d’amitié. « Nous n’arrivons pas avec un projet défini, nous venons non pas pour faire mais pour ‘’être avec‘’ ceux qui sont oubliés. La plus grande souffrance humaine n’est-elle pas la solitude, le sentiment qu’on ne compte plus pour personne ? » C’est ainsi que nos deux témoins présentent leur engagement. Dans de petites communautés composées de jeunes qui donnent un ou deux ans de leur vie, il faut avoir le sens du service et de la charité pour se laisser conduire par la Providence vers ces frères et sœurs en humanité pour qui la vie est souvent bien rude et parfois sans véritable espérance. Très vite on comprend que cet engagement puise sa force dans une vie de prière forte et exigeante. La parole de ces deux « missionnaires » touche visiblement les élèves. On essaye de comprendre comment un tel élan est possible. C’est aussi la prise de conscience des grandes misères qui touchent notre monde, et pas seulement les pays pauvres mais aussi nos grands villes occidentales : on souffre aussi de l’abandon et de la solitude chez nous. Petit-à-petit les collégiens comprennent que, sans prétendre partir en mission, nous sommes renvoyés à notre propre attitude : quel est mon regard sur les plus pauvres ? Suis-je accessible à ceux qui ne vont pas bien autour de moi ? Comment puis-je aider et apporter un peu de réconfort ? De simples questions d’humanité qui nous invitent à ne pas fermer notre cœur à ceux qui ont besoin d’un peu d’aide.
Après de tels échanges, il fallait aussi agir. Tout d’abord, une vente de petits objets venus des pays où l’Association « Points-Cœur » est implantée a donné l’occasion aux élèves qui le souhaitaient de faire preuve de générosité en faveur de l’œuvre. Mais c’est surtout le « bol de riz » qui a mobilisé plusieurs centaines de jeunes qui a permis au plus grand nombre de manifester sa solidarité. Au terme de ces journées partagées, l’Assomption a pu envoyer sa contribution à « Points-Cœur ».
Que Sœur Régine et Denis soient remerciés pour tous ces temps partagés où ils nous ont redit que l’essentiel dans nos vie c’est l’amour partagé, en particulier avec ceux qui sont le plus oubliés dans un monde qui veut toujours aller plus vite et plus loin au risque de laisser les plus petits sur le bord du chemin…
Sœur Régine, Denis, nous ne vous oublierons pas. A l’occasion de notre célébration de Pâques, nous avons prié pour tous ceux vers qui vous êtes envoyés. Bonne route à vous… et merci !
La journée a commencé par un temps en classe pour réfléchir à ce qu’est la fraternité, sujet difficile s’il en est mais combien essentiel aujourd’hui. Puis, les élèves ont produit un texte pour dire avec leurs mots ce qu’est la fraternité aujourd’hui, dans notre quotidien. Un passage parmi tant d’autres: « Pour nous, la fraternité ce n’est pas compatible avec violence et égoïsme. C’est le fait de se soutenir mutuellement, c’est être ‘dans le cœur’ de chacun. Même si c’est parfois difficile, c’est un engagement, un lien qui nous unit, c’est accepter les différences et ne pas laisser tomber les autres. C’est ‘une action universelle’. C’est accompagner chacun dans les moments difficiles comme dans les bons moments. C’est également la capacité à écouter. La fraternité peut contribuer au bonheur ».
Les élèves de 6è ont eu l’opportunité de planter un arbre, évidemment baptisé « arbre de la fraternité ». Prendre soin de la planète c’est exprimer le désir de préserver notre « maison commune » pour vivre mieux ensemble, c’est aussi préparer le monde qui vient pour les hommes de demain, ces personnes humaines que nous ne connaîtrons sans doute jamais mais que nous appelons déjà nos frères et nos sœurs.
Un temps de rencontre par niveau a permis de mettre en commun les textes. C’était une autre façon de comprendre l’appel qui nous est lancé pour la construction du monde d’aujourd’hui et de demain. Des mots revenaient alors beaucoup: respect, entraide, accueil, espoir, réconciliation, indulgence, tendresse, égalité, pardon, amitié… Autant de challenges à relever.
Passage incontournable de la journée pour tous: la rencontre de « témoins ». Des acteurs de la fraternité sur Colmar venaient parler de leur expérience concrète sur le terrain: Le « CCFD », « Caritas-Secours Catholique », « Terre des hommes », « La Manne » ou « l’Ordre de Malte » étaient ainsi représentés: autant de témoignages forts et parlants pour sensibiliser les jeunes élèves et les inviter à être acteurs de la fraternité.
Et puis, au-delà de ces temps de rencontre et de partage, le repas festif du midi ainsi que le temps d’apprentissage de la « flash mob » ont été des moments particulièrement appréciés par les collégiens.
Un temps final réunissait les 600 collégiens et leurs professeurs dans la cour de l’établissement pour une célébration en grand de notre journée. Il ne fallait pas se contenter de parler de la fraternité, il fallait la vivre. Chant, flash mob, clapping géant venaient couronner magnifiquement la journée dans la joie et les rires. Un temps magnifique vécu et partagé: la fraternité est en marche !
Michel Scotto – Animateur pastoral de l’Institut de l’Assomption
Les vidéos sont publiées sur la chaîne YouTube de l’Institut de l’Assomption –>
Les collégiens de l’Assomption nous disent ce qu’est la fraternité pour eux :
« Pour nous la fraternité, ce n’est pas compatible avec la violence et l’égoïsme. C’est « être dans le cœur de chacun ». C’est une forme de complicité même si c’est parfois difficile. C’est un lien qui nous unit, c’est accepter les différences et ne pas laisser tomber les autres. C’est une action universelle. »
« La fraternité, c’est marcher à plusieurs pour aller plus loin. Elle consiste à espérer un avenir meilleur. Pour nous, la fraternité permet de combattre l’indifférence, c’est se soutenir les uns les autres, réconforter quelqu’un qui se sent mal. C’est prendre soin des autres. »
« C’est cela la fraternité : l’écoute et l’entraide de chacun. Nous sommes tous des frères, nous sommes tous humains. Partageons la même terre malgré nos différences. Chaque personne est unique et a son importance. La fraternité, c’est accompagner chacun dans les moments délicats de la vie. Un frère reste un frère dans une situation difficile. »
« Pour nous la fraternité, c’est être en relation avec les autres au-delà des religions, de la couleur de la peau ou du niveau social. C’est considérer n’importe quel individu comme un être humain. Nous sommes tous frères et sœurs. La fraternité, c’est ne pas se taire quand il y a des injustices. C’est être capable de se montrer courageux dans les moments difficiles. »
« La fraternité, c’est ne pas se croire supérieur… C’est ne pas juger sur les apparences mais avoir la notion de partage, c’est se serrer les coudes, c’est avancer ensemble. C’est une force humaine. La fraternité, c’est la compassion, l’amitié… Nous sommes solidaires et en communion avec les autres. »
« Pour nous, la fraternité c’est avant tout le respect de l’autre, pas seulement avec sa famille et ses amis… Non ! La fraternité, c’est respecter tout le monde : qu’il soit blanc, noir, asiatique, arabe, juif, musulman ou chrétien car il ne faut pas oublier que nous sommes tous de la même race : la race humaine. Il faut agir ! Ce ne sera pas facile mais en étant tous soudés, nous pouvons y arriver… il faut garder espoir ! »
« La fraternité, c’est l’envie de pardonner. Cette envie est une force. Une force qui sait excuser, qui sait comprendre, accepter et oublier les erreurs des autres… des erreurs qui ne peuvent pas arrêter la fraternité. Il faut savoir pardonner et recommencer… recommencer la relation ! »
Articles de presse de la journée:
Photos:
Création de cartes par les CE1B1 envoyées aux enfants hospitalisés de l’hôpital Pasteur de Colmar. |
Fidèles au rendez-vous, nous avons été nombreux à participer à notre traditionnelle fête de l’Epiphanie. Temps festif, fait de recueillement, de prière, de partage, de convivialité : chaque fois, ce rendez-vous est un moment particulièrement riche pour débuter la nouvelle année.
De la maternelle au collège, en passant par les parents et les différents personnels, chacun, petit ou grand, était invité à prendre sa part.
Une nouvelle fois, les collégiens, épaulés par quelques lycéens, ont magnifiquement animés musicalement la célébration présidée chaleureusement par le Père Bottais.
Le thème du « bonheur » était le fil conducteur cette année.
Les élèves du primaire, autour du personnage de Jacob, nous ont aidés à réfléchir sur la présence parfois mystérieuse de Dieu dans notre vie : « En vérité, le Seigneur est en ce lieu et je ne le savais pas… »
Le bonheur ne peut pas se vivre seul : il demande à être partagé. Les différentes illustrations des élèves nous invitaient, à leur manière, à méditer cela.
Le partage de la galette au restaurant scolaire ‘’couronnait ‘’ joyeusement cette soirée grâce à la présence efficace et active de l’APEL.
Merci à tous ceux qui, d’une façon ou d’une autre, ont œuvré à la belle réalisation de cette soirée.
Que l’élan de ce temps de rencontre nous accompagne et nous éclaire tout au long de l’année !